Rosa candida
Auður Ava Ólafsdóttir Rosa candida

Roman traduit de l’islandais par Catherine Eyjólfsson




Coups de cœur des libraires

« La Rosa Candida est une rose rare que cultivait la mère d’Arnljótur dans sa serre en Islande avant de mourir. Rare aussi le parcours de ce jeune homme qui décide de quitter père et frère pour cultiver le jardin d’un monastère, sorte de "paradis perdu" en friche, sur le vieux continent. Rares les rencontres qu’il fera lors de ce voyage et notamment celle de sa fille de 9 mois, Flóra Sól, issue d’une relation d’"un quart de nuit". Rare enfin cette écriture sorte de parenthèse esthétique et émouvante qui nous tient comme une rêve éveillé.
MAGNIFIQUE. » Aurélie Janssens, librairie Page et Plume —Limoges
Coup de cœur de Valérie Bossé de la librairie Le Fureteur de Saint Lambert (Canada)
« Audur Ava Ólafsdóttir est de la race des écrivaines qui vous embarquent dès les premières pages. Le héros, que son vieux père appelle affectueusement "mon petit Lobbi", est un grand candide de 22 ans. Il se dégage de ce personnage, papa d’un bébé de 6 mois qu’il a eu avec une femme qu’il n’a côtoyée qu’une seule nuit, une naïveté attachante. Alors qu’il part restaurer la roseraie d’un monastère, il enchaîne les mésaventures cocasses. C’est avec son départ que tout débute. L’éloignement géographique engendrera, en effet, un surprenant développement de l’instinct paternel. Ce roman, débordant d’humour, illustre la difficulté d’être un homme et nous offre une histoire d’amour à contre-courant. Un livre d’une grande fraîcheur que l’on quitte à regret, mais rempli d’une nouvelle foi en l’Homme. » Tania Massault, librairie Pantoute — Québec (Canada)
« Peu de temps après la mort de sa mère et la naissance de sa petite fille, Arnljótur, un jeune islandais, décide de quitter la maison familiale pour aller cultiver des roses dans un monastère. Nous l’accompagnons sur la route et à l’arrivée au monastère où il doit faire revivre un roseraie légendaire. Tout au long de l’histoire, Arnljótur s’ouvre à des nouvelles expériences et surtout à la vie. Il est plutôt candide, ce qui lui permet d’apprécier les petits moments de l’existence, malgré les drames dont son parcours est ponctué. Pendant que les personnes autour de lui se posent mille et une questions, Arnljótur se laisse simplement porter par les vagues et ça lui réussit bien. Ce roman est une réelle bouffée de fraîcheur dans le monde effervescent dans lequel nous vivons.
Laure Leroy a bien fait de nous vanter Rosa candida car ce livre est beau comme la vie. » Librairie Vaugeois — Québec (Canada)
« Une lecture fort plaisante à travers laquelle le personnage principal éclot vers l’âge adulte. À la lecture, on ne peut que penser au Nom de la rose d’Eco sauf que dans Rosa candida la religion est érigée pour une rose à huit pétales. » Mélanie et Laurence, librairie Lettre et Merveilles — Pontoise
« Un très beau livre, contemplatif mais pas lassant du tout. On le repose à regret. » Librairie Liragif — Gif-sur-Yvette
« Une quête magnifique. » Philippe Soussan, librairie Les Vraies Richesses — Juvisy-sur-Orge
« Sans doute le petit plaisir de la rentrée, rafraîchissant et optimiste (chose rare ces derniers temps). Le décès brutal de sa mère pousse un jeune homme singulier et attachant à partir pour un pays jamais situé, jamais cité, hors du temps pour sauvegarder un jardin monial et une espèce de rose en particulier. S’engage alors un voyage initiatique. » Marie-Hélène, Sarah et Frédéric, librairie Interlignes — Limours
Le coup de cœur de la librairie Lo Païs de Draguignan
« C’est LA découverte de cet été !
Énorme tendresse, un roman vraiment étonnant. » Librairie Pages d’encre — Amiens 
Coup de cœur de la librairie Bain d’Encre au Chesnay
Le coup de cœur de Florence de Mornac de la librairie des Halles de Niort
« Vraiment sublime, une belle histoire, une mère et un fils, des roses, une serre, une jeune femme et son bébé. À offrir sans modération ! » Librairie Le Monde d’Arthur — Meaux
« À 22 ans, le jeune Islandais Arnljótur se décide à quitter sa famille après le drame qui l’a frappée. Sa mère est décédée lors d’un accident de voiture et le laisse avec son père bientôt octogénaire et son frère qui reste anormalement silencieux. Arnljótur, petit rouquin, était très proche de sa mère qui trouva la force, quelques instants avant de mourir, de l’appeler, de le rassurer, de le conseiller et de lui offrir une dernière preuve d’amour. Elle lui avait fait partager sa passion pour les roses dans la serre et le jardin où elle cultivait une variété exceptionnelle sans épines et à huit pétales, la Rosa candida. Avant de partir, Arnljótur raconte son enfance, ses liens familiaux forts encore resserrés à la mort de sa mère, mais aussi la naissance de sa fille née un jour particulier, après une rencontre rapide, sans avenir. Lorsque Arnljótur part restaurer une roseraie d’un monastère du continent, il emporte évidemment quelques boutures de la Rosa candida qui perpétueront la mémoire de sa mère. Ce premier roman traduit en France d’Audur Ava Ólafsdóttir est une vraie réussite, un livre véritablement apaisant qui dégage une atmosphère remplie de tendresse et délicate. Ce "garçon des roses" charme par sa naïveté et sa candeur, sa tendresse dans sa relation à l’autre et avec sa fille, dans ses sentiments et ses préoccupations. Un charme aux accents féminins indéniables dans ce portrait tendre d’un homme solitaire attentif aux autres auquel il ne manque que l’odeur de la Rosa candida mais avec un peu d’imagination, vous la devinerez au fil des pages… » Librairie Vaux Livres — Vaux-le-Pénil
Rosa candida fait partie de la sélection « 365 livres » de la librairie L’Armitière à Rouen
« Arnljotur Thorir, ingénu narrateur de Rosa candida quitte son Islande natale pour planter une rose rare à huit pétales dans la célèbre roseraie laissée à l’abandon d’un monastère de campagne.
Il y a ceux qu’il laisse au pays : un frère jumeau autiste, un père septuagénaire et une rayonnante enfant de sept mois conçue lors d’une courte nuit d’amour. Il y a aussi les insolites rencontres qu’il va faire : un moine cinéphile, une comédienne étrangère à qui il parle de plantes qui sont comme un matelas de gymnastique.
Audur Ava Olafsdottir raconte avec délicatesse, drôlerie et légèreté les personnages et la nature qui les entoure. » Gwendoline Delaporte, librairie Le Merle Moqueur — Paris 
Le coup de cœur de Grégoire Lortat-Jacob de la librairie Longtemps à Paris
Le coup de cœur de Michele Chadeisson de la librairie Texture à Paris
« "Lobbi", jeune Islandais de 22 ans, décide, malgré les encouragements de son père pour une carrière scientifique, de traverser le continent afin de prêter ses talents de jardinier à la plus célèbre des roseraies, nichée dans l’intimité d’un jardin d’une abbaye méditerranéenne. C’est sa mère, décédée récemment dans un accident de voiture, qui lui a transmis le goût des plantes et des fleurs. Il ne partira d’ailleurs pas seul mais accompagné d’une pousse de rose à huit pétales que sa mère avait crée dans la serre qu’elle avait réussi à implanter dans le jardin de leur terre aride. Lui aussi à créer la vie dans cette même serre, lors "d’un quart de nuit" où il s’était réfugiée avec une jeune femme et dont ils ne gardent en partage que le souvenir de l’ombre des feuilles sur leur peau et l’annonce, quelques semaines plus tard, de l’arrivée d’un enfant. Mais, loin d’être une fuite, la décision de son départ sera le début de sa rencontre avec lui.
Un voyage d’une grande douceur auprès d’un personnage singulier, attachant et à la candeur volontaire au cœur de paysages fleuris et ensoleillés.
Ça fait du bien !!! » Marie, librairie L’Éternel Retour — Paris
« Notre coup de cœur de la rentrée : le délicieux Rosa candida d’Audur Ava Ólafsdóttir. L’histoire d’Arnljotur, jeune homme de 23 ans qui quitte l’Islande pour le continent avec pour seul bien des boutures de roses à huit pétales. Il se laisse porter par les événements et les rencontres qui se mettront sur son chemin. Un roman autour du passage à l’âge adulte, une approche sensible et douce de la paternité, et de l’amour quand il arrive là où on ne l’attend pas. » Librairie des Batignolles — Paris
« Arnljótur quitte la maison familiale où vit son frère autiste et son père octogénaire pour aller travailler dans une roseraie dans un monastère. Sa passion des roses lui vient de sa mère, morte au moment où il part travailler.
Arnljótur est jeune, naïf, manque d’expérience avec les jeunes femmes et justement il va mettre innocemment enceinte Anna. L’auteur nous offre un personnage tendre et candide à la recherche de lui-même. Un roman d’apprentissage drôle et émouvant. » Véronique, librairie Fontaine - Passy — Paris
« Très joli roman empreint de douceur et de sérénité, une belle réflexion sur les liens familiaux et un très beau voyage ! » Librairie Le Divan — Paris 

« Tendre mais jamais mièvre, un peu mélancolique, parfois drôle, voici un roman d’apprentissage où un tout jeune homme prend son envol et apprivoise dans un parcours singulier la paternité et l’amour. Une lecture merveilleuse, toute en nuances ! » Anne-Marie Marchand, librairie Atout Livre — Paris

Le coup de cœur de Fabienne Olive de la librairie Les Oiseaux rares à Paris
« Une des perles de cette rentrée littéraire, une histoire qui nous mène aux confins du roman initiatique et du road-movie. Entre les murs d’un monastère et d’une roseraie séculaire, un jeune islandais passionné de botanique tente d’y réintroduire « la rosa candida ». À lire sans plus attendre. » Jérôme Cuvelier, librairie La Manœuvre — Paris
Le coup de cœur de Gwendoline Delaporte de la librairie Page 189 à Paris
« Il y a parfois des petits instants de grâce en littérature. Rosa candida est de ceux là. Loin de la mode des "Page turner" où tout ne vaut quasi que pour le suspens, le roman d’Audur Ava Olafsdottir est une parenthèse enchantée. Alors planquez-vous sous la couette ou près d’un bon feu et... savourez ! » Librairie Les Arpenteurs — Paris
« Le "petit Lobbi" quitte son Islande natale, sans rien connaître du monde qui l’entoure. Sa passion des roses et plus particulièrement de la rosa candida le conduira jusque dans un monastère d’un pays lointain. Peu importe qu’il ait une petite fille, que son frère soit autiste et que sa mère soit décédée : sa candeur et sa simplicité lui permettront de surmonter les épreuves de son périple. "Sa chère mère" aurait particulièrement été fière de son fils !
Sa rencontre au monastère avec un moine cinéphile, amateur de bon vin est particulièrement savoureuse. Aussi bien road movie que livre d’horticulture, on grandit avec le "petit Lobbi" devenu grand.
Cultiver des roses deviendra tendance grâce à ce roman ! » Quentin Legeard, librairie du Rond Point - Actes Sud — Paris 
« Voici un très beau livre sur le jardinage, l’amour et la paternité... Avec des personnages drôles et tendres, sincères et ingénus... Un doux et vivifiant moment de lecture. » Librairie Delamain — Paris
« L’écriture met l’accent sur les sensations : couleurs, goûts, cuisine, saveurs et senteurs, fraîcheur. Les dialogues aussi sont pleins de saveur. En deux mots : sensible et enveloppant. » Romain, librairie des Danaïdes — Aix-les-Bains
« À 22 ans, Arnljotur quitte son île de lave et de mousses pour entreprendre un insolite voyage qui le mènera jusqu’à une abbaye où il a pour mission de restaurer la roseraie. Dans son sac il emporte des boutures d’une rose singulière que sa mère faisait pousser dans sa serre. Il laisse derrière lui un frère jumeau autiste, un bébé accidentel, un père totalement perdu depuis la mort brutale de sa femme. Frère Thomas moine cinéphile l’aidera à y voir clair dans ses questionnements. Un joli conte. » Librairie Garin — Chambéry
« Nous adorons la fraîcheur de Rosa candida ! » Librairie Le Jardin des Lettres — Craponne 
«  Un bijou de tendresse ! Ce jeune homme de 22 ans qui vient de perdre sa mère part au fin fond de l’Islande pour s’occuper d’une roseraie cachée dans un monastère. Il se cherche, se découvre au fur et à mesure de ses rencontres. Jeune papa (par « accident ») il va devoir faire face à cette paternité imprévue … On se laisse porter par cette grande tendresse et ce récit simple et doux. » Librairie CoLibris — Meyzieu
« Un road-movie délicieux où se réunissent grâce et tendresse.
A lire absolument ! » Sophie, librairie Decitre — Ecully
Rosa candida fait partie de la sélection de la librairie Vivement Dimanche - L’Ainée de Lyon 
« Ce livre vous réchauffe le cœur, il est comme un lever de soleil. » Fabien, librairie Decitre - Part-Dieu — Lyon
« Réjouissons-nous de la nouvelle parution de ROSA CANDIDA dans la collection de poche des éditions Zulma ! Ce roman lumineux, tendre et drôle vous apportera le réconfort nécessaire en cas de pluie battante et vous ouvrira les portes de l’allégresse douce. Paru en 2010 ce petit bijou voit aujourd’hui sa couverture d’antan ravivée par quatre robes différentes, c’est si joli que vous risquez la collectionnite ! » Juliette, librairie Totem — Schiltigheim
Le coup de cœur de Mathilde de la librairie Bisey de Mulhouse
Le coup de cœur de la librairie Le Libr’air d’Obernai
« Avec ses Rosa candida en guise de compagnons de route, le jeune Lobbi va vous embarquer dans sa découverte de la vie ! Ce roman plein de charme, de poésie et de lumière vous offrira une transition vers l’hiver des plus délicieuses. » Librairie Quai des Brumes — Strasbourg 
Le coup de cœur de Christelle Dierickx de la librairie Le 5ème Art de Saint-Jean-de-Luz
« A 22 ans, Arnljótur sort de l’insouciance suite à la mort brutale de sa mère avec laquelle il partageait une passion pour les roses. Il quitte son Islande natale pour rejoindre un monastère au jardin réputé. C’est l’occasion pour lui de faire le point sur sa vie et sa récente paternité... Une écriture sobre, beaucoup de tendresse, l’histoire d’un jeune homme d’une candeur attachante qui devient adulte en devenant père. En somme une belle histoire !
Ce livre a obtenu le prix Page des libraires 2010, dans la catégorie littérature européenne. » Librairie Le Goût des Mots — Mortagne-au-Perche
« Un personnage à la fois candide, cocasse et tendre se lance dans un road movie d’où il ressort plus ingénu avec son angelot sur le dos. » Librairie Le Passage — Alençon 
« Audur Ava Ólafsdóttir nous offre un bonheur de lecture, tout en délicatesse, poésie et décalage subtil. » Librairie du Channel — Calais
Dans la sélection Littérature de la librairie Tonnet de Pau
« A travers une écriture poétique, nous partageons les questionnements d’Arnoljotur, ses rencontres sur ce long périple, ses premiers pas vers la paternité et surtout sa passion des roses... Rosa candida: un roman plein de tendresse à l’odeur envoûtante des roses ! » Coline, librairie Demey-Majuscule — Armentières
« Un roman pur, authentique, une grâce reposante » Sophie Bourhis, librairie Cheminant — Vannes 
« Un roman tout en douceur et poésie qui s’articule tout naturellement autour des trois obsessions d’Arnljótur : les fleurs, la mort et le corps. Un très beau texte. » Bérénice, librairie M’Lire — Laval
« Voilà un roman totalement hors du temps, hors des modes, sans violence, sans sexe, sans fric... C’est l’histoire d’un ingénu islandais au pays des roses, un personnage totalement zen, amoureux des plantes, qui se découvre des talents inattendus pour la paternité.
Malgré une absence totale d’action on ne s’ennuie jamais parce que l’auteur a le talent de désamorcer toutes nos attentes ! » Marie-Paule Bonnaud, librairie Contact — Angers 
« Une jolie histoire, toute simple pleine de tendresse. Après la mort de sa mère et la naissance de sa fille, le jeune Arnljotur traverse son pays pour remettre en état un jardin de monastère. Très frais et tendre. » Michèle Germain, librairie Parchemins — Saint-Florent-le-Veil
Le coup de cœur de la librairie Martin-Delbert d’Agen
« S’il y a peu de mots pour exprimer la simplicité et la beauté des petites choses de la vie, Audur Ava Olafsdottir a su les trouver. Sans mièvrerie mais avec grâce et authenticité, l’auteur nous livre un véritable petit bijou. » Delphine, librairie L. Durance — Nantes
« Une bulle de délicatesse et d’authenticité ! » Marie-Claire Bour, librairie Page10/2 — Vendôme
« Voilà le petit bonheur de la rentrée, la découverte qui fait du bien, qui rafraichit, qui laissera longtemps après, l’air de rien, une petite rose à 8 pétales dans un coin de la tête. Voilà, je vous laisse découvrir la roseraie d’Arnjóltur et retourne tailler mes rosiers. » Jean-Baptiste Hamelin, librairie Le Carnet à Spirales — Charlieu 
« Arnljótur, devenu père à 23 ans, quitte la maison familiale, son père octogénaire et son frère autiste, peu de temps après la mort de sa mère. Toute sa vie s’ordonne autour des fleurs. Élevé au milieu des roses par sa mère adorée, il conçoit un enfant une nuit d’amour dans la serre, puis s’en va sur le continent redonner vie à la roseraie d’un monastère. Il emmène avec lui quelques boutures de rosa candida, rose très rare à huit pétales. Homme touchant que ce personnage créé par Audur Ava Ólafsdóttir, plein de candeur et de tendresse envers son vieux père et son enfant.
C’est un roman au parfum féminin où les filles naissent dans les roses et où les moines sont cinéphiles, un road-movie sur les terres de glace et de lave. La justesse psychologique des personnages côtoie un réalisme épuré qui donne au roman un ton très juste dans cette quête de soi menée par un ingénu. » Carole Meaudre, Le Square - librairie de l’Université — Grenoble
« Imprononçable, le prénom de notre jeune héros : Arnljótur, mais heureusement son père l’appelle "mon petit Lobbi".
Ce roman est un bijou de tendresse, de surprise aussi, de beauté et la traduction de Catherine Eyjólfsson est une pure réussite tant la musique qui se fait entendre dans notre langue est agréable et séduisante.
Le jeune homme a 22 ans, perd sa maman au tout début du livre dans un accident de voiture dont l’évocation laisse déjà pressentir que le rapport aux événements et à la vie n’aura rien à voir avec celui des gens ordinaires. Nulle acrimonie, nulle détresse violente, au contraire un sentiment lent et calme et empreint de bonté qui s’installe au cœur de Lobbi, nous prouvant que sa mère l’accompagne toujours en pensée. Il va alors quitter son pays de lave et de mousse pour se rendre sur le continent dans un monastère dont la roseraie est mythique, suivant sa passion des roses et des jardins instillée depuis l’enfance par sa mère. Lobbi cependant connaîtra tel un Candide des temps modernes des péripéties de voyage et sentimentales aussi, ce d’autant qu’il est père de famille suite à un "petit bout de nuit".
Vous ne pourrez pas refermer facilement ce livre étonnant, différent, qui vous emmènera loin de la rage actuelle, et dont le décalage délicat est un baume. » Hélène Camus, librairie Tournez la Page — Combourg
« Si le nom de l’auteur et le prénom de son héros restent pour moi définitivement imprononçables, ce roman en tout cas, est un enchantement !
Véritable "ovni" islandais, ce texte plein de charme, de poésie et de finesse est magique. Il s’en dégage beaucoup de douceur, de légèreté et de candeur.
Une petite merveille à découvrir absolument ! » Rachel  
« Tout est beau et harmonieux dans ce livre, jusqu’à sa couverture.
Un livre comme on en lit peu souvent, un livre rare, un livre idéal pour chasser la morosité et l’obscurité hivernales. Un livre de couleurs, d’odeurs précieuses qui émanent à chaque page et redonnent de la vigueur, de l’espoir au lecteur triste et fatigué. C’est un livre doux et magique qui réchauffe et apaise, réconforte, change l’humeur grise en bien-être.
Hélas ! Cela ne dure que 330 pages. Aussi, prenez le temps d’accompagner Lobbi dans son périple, appréciez les couleurs de l’Islande qu’il va quitter, respirez à fond toutes les odeurs de lave, de terre, de poisson cuisiné. Goûtez tous les mets que son père, via sa mère, a su composer, savourez-les le plus longtemps possible. Ensuite, vous sentirez le jardin, humerez avec délice la roseraie du monastère et peu à peu, une impression de sérénité vous gagnera.
Acceptez comme le héros l’existence comme elle vient, sans a priori ni inquiétude inutile et ces petits riens qui composent la vie, lui donnent sens et mènent au bonheur si l’on sait les regarder, s’en imprégner simplement, apparaitront alors à vos yeux.Voilà, vous êtes heureux ! » Cécile

Librairie Le Failler — Rennes
Le coup de cœur d’Agnès Collet de la Nouvelle Librairie Sétoise de Sète
« Un jeune homme de vingt ans quitte sa terre natale, l’Islande de pierre et de lave, de feu et de lichens, son père, son frère autiste, pour rejoindre une roseraie légendaire nichée dans une abbaye dans un pays voisin. Il y a d’abord ce départ, comme un adieu à sa vie d’enfant, une promesse de road movie en forme d’initiation à la vie d’adulte. Il y a aussi ce lien très fort avec sa mère décédée, amoureuse des roses et des plantes, comme son fils. Ce jeune héros candide part à la rencontre des autres et de lui même avec une grande sensibilité, une naïveté attachante.
Un portrait sensible d’un homme en décalage dont l’univers semble être totalement dédramatisé, empreint de naïveté et de candeur, gardé par les fleurs et le monde végétal. Un doux voyage avec ce candide, au gré de ses rencontres (la jeune femme mère de sa fille, le prêtre cinéphile, le père mère poule, sa petite fille). Grande empathie pour ce personnage, beaucoup de douceur, de respect et de sensibilité. Une belle âme ! » Librairie Le Grain des Mots — Montpellier
« Tout en finesse avec une formidable légèreté et un entêtant parfum de rose. » Alain Monge, librairie Sauramps Odyssée— Montpellier
« Beaucoup auront du mal à mémoriser son nom, cela ne les empêchera pas d’applaudir à son livre qui commence à faire sensation dans le monde des libraires ravis de le conseiller à leurs clients demandeurs d’originalité. Audur Ava Ólafsdóttir est donc islandaise, vous savez, de ce peuple lointain mais européen qui cultive la plus vieille langue d’Europe sur un sol particulièrement peu fertile mais où l’on compte le plus grand nombre d’écrivains au kilomètre carré. La crise de la littérature ne semble pas avoir affecté cette civilisation de l’écrit égarée dans la finance et la preuve en est faite avec Rosa candida qui paraît aux éditions Zulma, cet éditeur qui réhabilite la tapisserie pour orner les belles couvertures de ses livres : livre vert parcouru de rondeurs éblouissantes, ce roman nous emporte ou plutôt nous entraîne dans les pas d’un héros exaspérant de candeur et donc séduisant en diable, un jeune homme de vingt-deux ans qui quitte son île sans arbre pour traverser ce qu’on appelle là-bas le “continent” au volant d’une voiture, gardant précieusement avec lui trois plants de roses, une passion héritée de sa mère et cultivée avec une volonté qu’on dirait volontiers inflexible (les mots vont souvent ensemble) si elle n’était mâtinée d’une inquiétude et d’un tourment intérieur joliment analysés par l’aventureux voyageur.
[...] On entend déjà parler de “road movie”, cette exaspérante expression qu’on nous sort dès qu’un personnage accomplit plus de cent kilomètres en voiture, mais la route qui sinue sous les roues d’Arnljótur et dans sa propre tête n’est pas du cinéma : c’est le monde réel, inquiétant et fascinant dès qu’on prend le temps de le regarder lentement, une trace de l’homme dans un monde qui a oublié la beauté des roses et le soin qu’elle réclame. Faire simple n’est pas donné à tous les écrivains qui confondent souvent simplicité et pauvreté, la langue islandaise se prête sans doute mieux qu’une autre à la narration de l’essentiel et on peut se réjouir que la traductrice ait su trouver la voix qui convenait à cette histoire simple, ce personnage simplement complexe dans son monde fleuri d’épines. C’est ce qu’on appelle le charme et on peut assurer qu’en matière d’horticulture littéraire, Rosa candida n’en manque pas. » Librairie Mollat — Bordeaux
« Lire Rosa candida, c’est entreprendre un voyage d’un très grande douceur aux côtés d’un jeune homme, jardinier par choix et père par inadvertance. C’est aussi rencontrer, au cœur du monastère qui abrite une roseraie fabuleuse, un moine cinéphile aux conseils avisés. Lire Rosa candida est aussi nécessaire que d’entreprendre une marche salvatrice. Et ce livre rend déjà, par anticipation, la journée plus belle. Avouez tout de même... » Librairie Détours — Nailloux 
« Ce livre est un roman de formation : celle d’Arnljótur, inquiété par ses désirs encore adolescents (comment faire pour moins penser aux corps des jeunes filles ?), et habité d’une haute conscience de ses responsabilités envers sa fille, son père âgé et son frère jumeau autiste, mais qui ne sait pas trop comment faire pour être à la hauteur de son rôle. Aidé par un moine cinéphile, qui lui donne pour réponse un film à voir à chaque fois qu’Arnljótur vient lui poser les questions existentielles qui l’habitent, notre héros va aller doucement vers l’âge adulte.
Tout imprégné de l’amour des fleurs et des roses en particulier, ce texte généreux est rempli de la fraîcheur du personnage principal, profondément touchant et attendrissant. Un roman lumineux, qui parle simplement de choses essentielles : comment trouver sa place dans ce monde, comment donner et recevoir de l’amour. Parce qu’il est là et qu’il n’attend que nous. » Aliénor Mauvignier, librairie Ombres Blanches — Toulouse
« Rosa candida est un livre rare où l’émotion et la grâce se disputent les premiers rôles. Une fois ouvert, il me fut impossible de le lâcher, tant j’étais sous le charme de cette écriture qui avait le charme envoûtant d’une rose à huit pétales. » Jean-François Delapré, librairie Saint-Christophe — Lesneven
« Rosa Candida n’est pas le prénom de l’héroïne de ce roman. Rosa Candida est le nom d’une rose (celle que la défunte mère du narrateur cultivait avec soin et passion). Ce goût pour la nature et les jardins, elle l’a transmis à son fils Arnljótur qui aura le privilège d’être accueilli dans un monastère où il s’attellera à redonner vie à une roseraie livrée à elle-même.
Notre héros quitte ainsi son père, un homme profondément attachant (mais un peu papa poule sur les bords !) qui se remet difficilement de la disparition de sa femme. Il quitte aussi son frère jumeau autiste, cet être hors du temps qui vit dans son monde à lui.
Son voyage le mène dans ce lieu où le temps semble s’être arrêté, où l’insouciance est de rigueur, où la nature semble avoir repris une place fondamentale dans la vie du village. Il y fait la rencontre de Frère Thomas. Cet homme cinéphile à ses heures va devenir le principal confident d’Arnljótur.
Mais lorsque débarque la mère de sa fille, son existence va être on ne peut plus bouleversée.
Ce livre est une friandise que l’on savoure avec délicatesse. La langue y est délicieuse, les personnages sont tendres et les paysages sont enivrants. L’auteur nous montre à quel point la filiation semble importante à l’épanouissement de nos existences. Il a su isoler ces plaies ouvertes, ces failles qui se dessinent et que l’humain s’évertue à cicatriser.
Par un certain côté, ce roman est à l’image d’une rose, fragile et ténébreuse, sensible et envoûtante. Il laisse derrière la lecture un doux parfum de sérénité. » Julien, librairie Dialogues — Brest
« Un très beau roman, d’une grande justesse psychologique, empli de finesse et de sensibilité. » Librairie Mosaïque — Dié
« Mon gros coup de cœur pour la prochaine rentrée littéraire, une espèce d’ovni islandais. Les gens du grand nord lointain ont vraiment un univers très particulier, tout en finesse et sensibilité, avec une lumière intérieure extrêmement forte. On va vraisemblablement beaucoup parler de ce livre à la rentrée et je le lui souhaite, parce qu’il est vraiment très beau et très décalé... » Frédérique Garcia, librairie L’Esperluète — Chartres 
Le coup de cœur de Chantal Nicolet de la librairie La Méridienne de La Chaux-de-Fonds (Suisse)
« Difficile de ne pas en faire LE grand coup de cœur de la rentrée... On vous envie d’être sur le point de découvrir le jeune Arnljótur et ses boutures de roses ! L’histoire semble pourtant au départ un peu mélancolique, puisque notre jeune ami décide de quitter son île (l’Islande) pour faire le deuil de sa mère et celui de sa paternité ratée, mais foin de larmes ! Tel un candide au milieu d’un monde nouveau, Arnljótur va se découvrir au milieu de la magnifique roseraie d’un monastère, un peu à l’abandon mais prête à révéler sa beauté et ses richesses, tout comme lui... Roman initiatique, road movie, romance, manuel d’horticulture, il y a tout cela dans ce très beau texte de cette nouvelle auteure (traduite pour la première fois en français), tellement réussi qu’on ne veut plus le quitter ! » Coline Hugel, librairie La Colline aux livres — Bergerac
« Un roman aussi rare que la rose en question, si émouvant et merveilleusement ingénu. Enfin un héros non dépressif ! Une vraie parenthèse enchantée. » Jacky Flenoir, librairie Calligrammes — La Rochelle
Le coup de cœur de Karine Pothier de la librairie Au Brouillon de culture de Caen 
Lu et conseillé par Anne de la libraire Goulard d’Aix-en-Provence
« Rosa candida est un petit bijou. Sur un ton léger, l’auteure nous parle de vie et de mort, de la capacité à revenir au monde, à aimer et à ressentir. » Anaïs, librairie du Mucem — Marseille
« Très vite nous subjugue la candeur de ce jeune homme, pour lequel on se prend d’affection. Il pourrait être agaçant dans sa naïveté, mais sa douceur, son esprit cocasse… et son amour des graines et des roses nous le rendent complice. Car ses interrogations tournent autour du corps, de la mort et du destin. Quel sentiment de repos nous emporte lorsqu’on se laisse glisser dans son récit ! » Librairie du Boulevard — Genève, Suisse 
Le coup de cœur de la librairie L’Odeur du temps de Marseille 
Le coup de cœur de Nadia Champesme, librairie Histoire de l’Oeil — Marseille 
« Rosa candida est un vrai bonheur, il nous fera du bien dans la rentrée avec le sourire de Flóra Sól et les talents culinaires de son père. » Lydie Zannini, librairie du Théâtre Zannini — Bourg-en-Bresse
« Conte ? Quête allégorique ? ou simplement magnifique histoire de paternité ?
[...] Un livre qui tient chaud au cœur et qui célèbre la vie et la générosité. Je vous promets que vous en reprendrez pour l’offrir ! » Librairie Mots et Compagnie — Carcassonne 
Le coup de cœur de la librairie Masséna de Nice
« C’est magnifique. »
Serge Bessière
Lu et conseillé par Claire Lesorbe.
« Une écriture pleine de poésie, un choix de mots très juste, ce qui en fait une réelle surprise dans ce roman où nous suivons un jeune garçon perdu mais qui sortira grandi. Son rôle paternel est traité avec plein de tendresse. 
Un très beau roman. »
Jessica Rouyer
« Nous avons aimé cette histoire poétique et délicate. Il s’agit d’une sorte de roman d’apprentissage qui suit le périple du jeune Arnljótur depuis son Islande natale jusqu’à une roseraie oubliée, sorte de jardin merveilleux auquel il doit redonner vie à l’aide de quelques boutures d’une rose à huit pétales, la Rosa candida... »
Éléonore
Lu et conseillé par la librairie.
Le coup de cœur de la librairie.
Lu et conseillé par Alice.
« Ce jeune homme est un candide attendrissant et drôle, qui aime la vie telle qu’elle est, avec une simplicité authentique, dans une symbiose totale avec la nature et le végétal en particulier. Quoi qu’il arrive, la vie s’écoule paisiblement, nous sommes enveloppés dans une lecture en état de grâce, emplie de douceur et de profondeur à la fois.
Autour de lui gravitent des personnages également savoureux, comme le moine cinéphile et amateur de liqueur. Sensibilité, justesse psychologique, clarté et poésie de l’écriture, situation originale, tout concourt à rendre les personnages attachants.
Bref, un bonheur de lecture qui rappelle en écho l’écrivain finnois Paasilinna, et toute la saveur étrange et lumineuse de la littérature scandinave. Une littérature reposante, où tout est dédramatisé sans mièvrerie et cependant très réaliste. »
Josiane - Bibliothécaire
Cercle de lecteurs de La Réserve
« Je me suis attachée dès les premières pages au jeune Arnljótur, jeune homme qui quitte son pays (l’Islande) pour assouvir sa passion du jardinage et redonner vie à la roseraie d’un lointain monastère quand son père rêvait de le voir continuer ses brillantes études.
Il laisse derrière lui un père veuf, un frère autiste, et l’absence d’une mère disparue depuis peu mais ô combien présente.
Ainsi qu’un enfant dont il s’étonne encore d’être le père : quête intérieure au travers d’un voyage initiatique semé d’embûches et de questionnements, ce livre a le bonheur de nous laisser une impression de paix.
Beau et rare ! »
Chantal
« Un roman plein d’innocence sur le passage du monde de l’enfance au monde adulte. »
Le coup de cœur d’Isabelle Le Borgne.