« Une interrogation sur la sexualité et le pouvoir mélangeant l’hyperbole lyrique et l’observation sociale dans un roman luxuriant et tragi-comique. » The New York Times Book Review

« Il a fallu attendre dix-sept ans pour accéder en français à un livre majeur de la littérature des Caraïbes, un ouvrage qui ravira à la fois les militant.e.s queer, les anticolonialistes, les féministes, les cœurs d’artichaut et les fans d’Almodovar. » François-Xavier Gomez, Libération

« Avec une mélancolie parfois teintée d’humour tendre, Mayra Santos-Febres dépeint le quotidien des travestis, contraints de vendre leur corps pour survivre. Abondant en personnages blessés, qui tous aspirent à une vie meilleure, son récit est une célébration des exclus caribéens, un chant obsédant » Ariane Singer, Le Monde des Livres       

« Sirena Selena, adolescent à la voix enchanteresse, habillé en diva, fait danser l’écriture de ce roman portoricain. On le remercie, ainsi que les éditions Zulma, parce qu’il n’y en a pas beaucoup, des romans qui nous arrivent de l’île des Caraïbes. » Mazarine Pingeot, L’Express

« Le récit est aussi flamboyant que les divas qui le peuplent. » Nathalie Peyrebonne, Le Canard enchaîné

« Une fable baroque sur la confusion des genres – à plus d’un titre –, qui séduit grâce à ses images luxuriantes, à sa construction intelligemment éclatée et à la musicalité de la langue. » Baptiste Liger, Lire           

« À la fois évocation du monde flamboyant, scintillant et impitoyable du monde des nuits gays caraïbes et de la misère sociale des Antilles, ce roman, le premier traduit de la romancière portoricaine Mayra Santos-Febres, agit tel un redoutable cocktail d’amères misères épicées d’érotisme glauque et capiteux. » François Angelier, France culture     

« Taillé dans le bois des romans cultes, Sirena Selena est un hommage aux rêveuses et aux acharnées, à celle et à ceux qui ont l’audace d’être soi. » Élise Lépine, Transfuge