« Palol, loin après Boccace mais avec la même jubilation intellectuelle, reprend largument du Décaméron – des privilégiés isolés d’un monde au bord de lapocalypse trompent lennui en racontant à tour de rôle des récits aux allures de contes moraux – et promène un récit-cadre affolant entre Jules Vernes et Borgès. » Michaël, Fnac – Dijon.

« Le lecteur se laisse volontiers charmer, surprendre par ce captivant, inventif roman composite qui mêle à la manière du Décaméron plusieurs récits de genres variés : anticipation, suspens, fantastique, philosophique, narratif, récitatif, convoque des personnages incarnés, émouvants, riches de leur complexité. » Anne, Fnac Montparnasse – Paris

« Limaginaire est sans limite, lintrication des récits constante, la virtuosité vertigineuse, l’humour omniprésent. Et à chaque instant, le dénouement se dérobe quand il semble à portée. Au lecteur daccepter dêtre malmené, éprouvé, consterné parfois, tant Palol samuse à nous égarer dans son dédale dément. » Hugo, librairie Nouvelle – Asnière

« Convoquant plus d’une centaine de personnages dans une narration aux multiples rebonds, Le Jardin des Sept Crépuscules est une construction romanesque monumentale, dune virtuosité qui ne cesse de nous fasciner. » Grégoire, librairie Obliques – Auxerre

« Des histoires enchevêtrées, comme une cascade de contes modernes des mille et une nuits, langue baroque et foisonnante, images rémanentes, imagination prodigieuse… » Jean, librairie Labyrinthe – Rambouillet